1. Il a écrit des livres presque tous consacrés à l’Égypte.

2. Il vient de publier un roman consacré à l’Égypte.

3. Il est éditorialiste au journal Le Monde

4. Il a travaillé pour Le Monde pendant plus d’une quarantaine d’années.

5. Ses billets étaient publiés en première page.

6. Un billet est souvent lu instinctivement.

7. Son départ à la retraite a mis fin à son étape comme billettiste.

8. Il a décidé de continuer à écrire des billets car certains lecteurs étaient un peu peinés.

9. Il a écrit environ 500 billets dont 180 sont toujours actuels.

10. Être billettiste était sa seule fonction au Monde.

11. Le plus difficile quand on écrit un billet c’est de savoir de quoi on va parler.

12. Il se donnait au total 3 heures pour rédiger sa tâche.

13. La longueur d’un billet ne pouvait pas dépasser 11900 signes.

14. La chute est une contrainte car le billet doit , entre divertir le lecteur.

15. Le billet quotidien est un exercice de style.

16. Pour trouver son inspiration, Robert Solé s’entoure de génies.

17. Aujourd’hui on ne rédige que pour les lecteurs de son journal.

18. Les lecteurs prennent toujours le billet au deuxième degré.

19. Au Liban, ses billets ont été mal interprétés.

20. Quand il écoute la radio, parfois il a envie d’écrire à nouveau des billets.

21. Il avait appris à traiter l’actualité de manière schématique sans nuances.

22. Le billet prend en compte un aspect de l’actualité.